Énergie atomique du Canada limitée

Le département de l’Énergie des États-Unis (DOE), Énergie atomique du Canada limitée (EACL), et la Nuclear Decommissioning Authority du Royaume-Uni (NDA) concluent un accord sur l’échange de renseignements en matière de remise en état des lieux et de gestion des déchets radioactifs

Le 8 mars 2020 — Les dirigeants des programmes de décontamination du bureau de la gestion de l’environnement du département de l’Énergie des États‑Unis (DOE), d’Énergie atomique du Canada limitée (EACL) et de la Nuclear Decommissioning Authority du Royaume‑Uni (NDA) ont conclu un accord aujourd’hui afin de poursuivre leurs ententes de collaboration déjà bien établies et de favoriser la collaboration entre les trois organisations. William « Ike » White, conseiller principal au sous-secrétaire de la science responsable du bureau de la gestion de l’environnement du DOE, Alastair MacDonald, Vice-président, déclassement et gestion des déchets au nom de Richard Sexton, président et premier dirigeant d’EACL, et Adrian Simper, directeur du groupe stratégie et technologie de la NDA, ont signé l’accord au cours d’une cérémonie tenue au Waste Management Symposia 2020 à Phoenix, en Arizona.

L’accord trilatéral officialise les récentes collaborations entre les trois organisations dans des domaines comprenant la gestion des infrastructures vieillissantes, le déclassement in situ / le démantèlement et l’administration des installations de gestion des déchets près de la surface, des activités qui constituent toutes des préoccupations importantes pour les trois pays dans les efforts qu’ils déploient pour améliorer le nettoyage sûr et efficace d’anciens sites. L’accord établit une structure de gouvernance officielle pour s’assurer que les activités ciblent des domaines plus probablement avantageux sur le plan de la sécurité, de l’efficience et de la remise en état des lieux en temps opportun, et que les mesures proposées sont soutenues aux plus hauts niveaux.

« Collaborer avec nos homologues et partager nos meilleures pratiques chaque fois que c’est possible contribuera à assurer que nous apprenons tous les uns des autres, » a déclaré William « Ike » White. « La capacité de réaliser des projets technologiques communs, d’échanger du personnel et de procéder à des évaluations de programmes entre pays enrichira les capacités de nos gens, et permettra à chacun de nous de tirer parti de nos ressources collectives alors que nous nous attaquons à certains des défis environnementaux les plus exigeants. »

« Nous travaillons tous énormément, mais nous nous heurtons à des écueils quand il s’agit de décontaminer nos sites et gérer efficacement nos déchets pour mieux protéger l’environnement et la santé et la sécurité de nos collectivités, tout en veillant à optimiser la valeur apportée, » a déclaré Richard Sexton. « L’annonce d’aujourd’hui indique clairement que, grâce au partage de nos connaissances et de nos meilleures pratiques, nous pouvons nous appuyer sur l’expérience de nos homologues et compter sur l’expertise voulue pour trouver des solutions sûres à des problèmes communs, laissant ainsi un meilleur héritage aux générations à venir. »

Adrian Simper a précisé « Nous collaborons de façon bilatérale depuis plusieurs années avec nos voisins d’Amérique du Nord. Cette collaboration nous a permis à tous de tirer parti de nos expériences respectives dans des cas de décontamination plus délicats. La concentration de nos forces dans le cadre de cet accord est une suite logique et nous fournit l’occasion unique d’intensifier nos missions individuelles et de mieux gérer nos responsabilités environnementales. »